Mohamed Abdou Mhadjou, un directeur engagé dans la politique aux Comores

Journaliste de formation dans le département arabisant, ce directeur a un franc parlé sur son choix se ranger dans un camp. « Je suis du côté régime. C’est mon choix, mais le travail est au bénéfice de tous les comoriens » ces propos du DG de l’ORTC  sont répétitifs dans les réunions de travail et/ou politiques.

Très positifs dans le cadre de concertation et d’organisation de travail. « Notre directeur général donne à César ce qui lui appartient » plus d’un agent de la boite confient cela. A l’antenne d’Anjouan et à la maison mère de Voidjou, les coulisses lui taxent d’un politique dur. Mais cela trace encore une ligne droite, puisqu’il n’hésite pas de le crier. 

Une des figures essentielles de la politique d’Azali. Mhadjou se distingue des autres, dans la mesure où, il fait de la mathématique pure ; c’est-à-dire, il sait ce qu’il veut et il a décidé la marche de son combat ; «la politique de la grande cour».

Il refuse de jouer avec le semblant, et non plus l’hypocrisie. Il a lâché la plume et le micro et s’engage à bec et à griffes dans la politique. « La réussite est avant tout un objectif fixé et une voie tracée. Je choisis de faire la politique» réitère son engagement, lors d’une récente réunion.

Ce cadre politique, très influent dans sa région (originaire d’Ouella Mitsamiouli, Ngazidja) devient l’inspiration de plusieurs jeunes cadres. Nous le sommes, en se fixant l’objectif de lancer le Journal Le Politique pour faire valoir les acquis politiques du temps et propulser l’art d’écrire à Anjouan en particulier.  En marche, serait du même avis de ceux qui font croire que Mhadjou est un modèle de la démocratie.