Cette situation met en évidence la fragilité de la chaîne d’approvisionnement en riz ordinaire sur l’île d’Anjouan. La dépendance excessive à l’importation de ce produit de première nécessité souligne également la nécessité pour les autorités locales de mettre en place des mesures visant à assurer la sécurité alimentaire de la population. Comprendre que la pénurie du riz un synonyme d’un putsch sans armes, le gouvernement aller aussi mettre le paquet en subvention pour la socié ONICOR.

Face à cette pénurie, de nombreuses familles anjouanaises se retrouvent dans une situation précaire, ne pouvant plus se permettre d’acheter du riz de luxe à des prix exorbitants. Les conséquences de cette crise sont particulièrement graves pour les populations les plus vulnérables, qui se trouvent dans l’incapacité de subvenir à leurs besoins alimentaires de base.

Il est important que le gouvernement prenne des mesures immédiates pour remédier à cette situation et garantir l’accès à un approvisionnement suffisant en riz ordinaire pour l’ensemble de la population anjouanaise. Il est également essentiel de mener une enquête approfondie pour identifier les causes de cette pénurie et prendre des mesures préventives pour éviter qu’elle ne se reproduise à l’avenir. Trouvez vite une solution dès  le lendemain de l’investiture d’Azali et on vous prévient que le problème n’est pas uniquement liée à la mauvaise gestion de la société.

En attendant, il est crucial que les autorités compétentes surveillent de près les pratiques des commerçants qui pourraient profiter de la situation pour augmenter les prix de manière injustifiée. Il est essentiel de protéger les consommateurs anjouanais des abus et de veiller à ce que le riz reste accessible à tous, quel que soit leur niveau de revenu.

En conclusion, cette pénurie de riz ordinaire à Anjouan met en lumière les fragilités du système d’approvisionnement alimentaire de l’île et souligne l’importance pour les autorités de mettre en place des politiques de sécurité alimentaire efficaces pour garantir l’accès à une alimentation suffisante et abordable pour l’ensemble de la population.

Le Gouvernement a manqué de volonté de subventionner cette société comme le cas de la Sonelec (société comorienne d’électricité) qu’on a vu une pluie de milliards sans pouvoir éclairer même la capitale Moroni.